Les interactions entre les espèces
Les Interactions interspécifiques sont les liaisons entres les individus de différentes espèces. Il y a six catégories d’interactions interspécifiques : la compétition, la prédation, le parasitisme, la symbiose, le mutualisme et le commensalisme.
Les pertubations
Les perturbations qui sont des évènements d’origine naturelle, comme un incendie de forêt, une inondation ou une éruption volcanique, ou découler de l’activité humaine, comme un déboisement ou un déversement de déchets toxiques dans un cours d’eau, modifie un milieu temporairement ou durablement les conditions d’un milieu.
La composition des communautés évolue constamment dans le temps en raison de la fréquence et l’intensité des perturbations qui peuvent avoir plusieurs conséquences sur les communautés. Par exemple, une éruption volcanique peut détruire une communauté en seulement quelques jours.
Il y a quelques perturbations qui peuvent être des communautés afin de permettre à de nouvelles espèces de s’installer dans ce milieu comme les incendies de forêt d’origine naturelle, les inondations ou les épidémies de parasites.
Par contre, les perturbations de cause humaine peuvent être des grandes nuisances à la communauté.
Par exemple, l’introduction des espèces exotiques qui sont des espèces venant d’une autre région étrangère, peut devenir envahissante avec le temps.
L’introduction du moule zébrée est un très bon exemple. Il menace plusieurs espèces aquatiques indigènes parce qu’il n’a pas de prédateurs en Amérique du Nord. Les moules zébrée, d’origine Européenne ont été introduit aux Grands Lacs.
La composition des communautés évolue constamment dans le temps en raison de la fréquence et l’intensité des perturbations qui peuvent avoir plusieurs conséquences sur les communautés. Par exemple, une éruption volcanique peut détruire une communauté en seulement quelques jours.
Il y a quelques perturbations qui peuvent être des communautés afin de permettre à de nouvelles espèces de s’installer dans ce milieu comme les incendies de forêt d’origine naturelle, les inondations ou les épidémies de parasites.
Par contre, les perturbations de cause humaine peuvent être des grandes nuisances à la communauté.
Par exemple, l’introduction des espèces exotiques qui sont des espèces venant d’une autre région étrangère, peut devenir envahissante avec le temps.
L’introduction du moule zébrée est un très bon exemple. Il menace plusieurs espèces aquatiques indigènes parce qu’il n’a pas de prédateurs en Amérique du Nord. Les moules zébrée, d’origine Européenne ont été introduit aux Grands Lacs.
La biodiversité
La biodiversité varier les espèces qui composent une communauté qui peut s’agir d’algues, de champignons, de plantes ou d’animaux. En outre, c’est une diversité spécifique. Elle peut être évaluer sous deux facteurs : la richesse spécifique qui désigne le nombre total d’espèces dans une communauté et l’abondance relative qui indique la taille des populations de chaque espèce dans une communauté. Si ces deux facteurs sont élevés, la biodiversité de la communauté est donc grande aussi.
Les successions écologiques
Une succession écologique est ‘évolution progressif de la composition d’une communauté qui suit d’une perturbation naturel ou par l’activité humaine. De nouvelles espèces envahissent le milieu perturbé pendant la succession. Ils remplacent donc graduellement les anciennes espèces. Cet évènement modifie la structure de la communauté.
La succession primaire consiste de la colonisation des espèces pionnières qui sont les premières espèces à s’installer dans ce milieu. Par exemple, une fois que la lave d’une éruption volcanique refroidisse, les bactéries, des mousses et des lichens se reproduisent et se dispersent dans ce milieu. Par la suite, grâce à eux, des fougères et des herbes peuvent s’y développer. Le nouveau sol qui se forme progressivement permet à des espèces d’arbustes et d’arbres de se rivaliser avec les espèces pionnières dans le but de former une nouvelle forêt. Toutefois, cette longue évolution peut durer des milliers d’années.
La succession secondaire correspond à l’évolution de reconstitution de la communauté. Celle-ci se produit dans un milieu perturbé dont le sol est partiellement épargné. Par exemple, suite à une tempête ou à un incendie, des débris sur le sol peut s’y accumuler. Il y aura donc moins de matière organique et plus ou moins d’eau. Les conditions du milieu sont modifiées. Par la suite, seule les espèces les mieux adaptées peuvent alors se développer. Elle consiste à la régénération du milieu.
La succession primaire consiste de la colonisation des espèces pionnières qui sont les premières espèces à s’installer dans ce milieu. Par exemple, une fois que la lave d’une éruption volcanique refroidisse, les bactéries, des mousses et des lichens se reproduisent et se dispersent dans ce milieu. Par la suite, grâce à eux, des fougères et des herbes peuvent s’y développer. Le nouveau sol qui se forme progressivement permet à des espèces d’arbustes et d’arbres de se rivaliser avec les espèces pionnières dans le but de former une nouvelle forêt. Toutefois, cette longue évolution peut durer des milliers d’années.
La succession secondaire correspond à l’évolution de reconstitution de la communauté. Celle-ci se produit dans un milieu perturbé dont le sol est partiellement épargné. Par exemple, suite à une tempête ou à un incendie, des débris sur le sol peut s’y accumuler. Il y aura donc moins de matière organique et plus ou moins d’eau. Les conditions du milieu sont modifiées. Par la suite, seule les espèces les mieux adaptées peuvent alors se développer. Elle consiste à la régénération du milieu.